Message du président de PRESAJE

Cette lettre est la 80ème d’une série éditée au cours de treize des premières années du XXIème siècle. Le n°1, de septembre 2002, titrait « Le grand besoin d’un regard neuf ».

La lettre de début 2016 reprendra la formule en l’actualisant, tant l’accumulation des innovations offertes aux sociétés humaines a transformé leurs vies quotidiennes et modifié le regard que chaque individu porte sur la sienne. Je vous en parlerai bientôt.

Auparavant, il me faut exprimer ma reconnaissance aux proches amis, Présajiens fidèles, qui ont su comprendre ces bouleversements et créer les réflexions, ouvertes au public, dans leurs 500 « papiers » d’auteurs compétents, originaux et bons pédagogues. Ils et elles ont contribué à créer cette somme de réflexions utiles, grand merci.

Puis, faisant parler l’amitié et l’affection dans la reconnaissance, je m’adresse aux trois proches sans lesquels ces treize années n’auraient produit que pages blanches.

Albert Merlin, fidèle de la première heure, producteur-éditeur, économiste reconnu, à la pensée sociétale originale, intransigeant dans la qualité éditoriale, qui a toujours guidé son comité éditorial vers le choix du bon sujet et de l’auteur le plus compétent.

Jacques Barraux qui a mis ses talents de grand journaliste au service de nos publications, qui en fut à la fois le metteur en scène et en page avec le dévouement exigé par les intransigeances chronologiques de son producteur.

Marie Rouger-Perrier, la réalisatrice, à laquelle rien n’a échappé, chaque titre, chaque texte, chaque mot. Elle a su faire vivre nos publications, dans l’entourage de notre Institut, en entretenant des relations chaleureuses aussi bien avec les auteurs qu’avec les lecteurs et, au delà, dans nos colloques.

En leur exprimant à tous les trois mon amicale reconnaissance, doublée pour Marie de mon affection familiale, je clos ce cycle de treize années pour ouvrir le suivant début 2016.

A bientôt, et Bonnes fêtes de fin d’année

Michel Rouger